Le Teqball, le sport que plus rien n’arrête !
En l’espace d’une décennie, le teqball est passé d’une activité d’amusement à un sport international de plus en plus populaire. Récemment, la discipline s’est même invitée sur la scène des compétitions multisports, où la FITEQ, la Fédération Internationale cherche à se tailler une place parmi ses pairs. Elle vise désormais être discipline additionnelle aux Jeux olympiques de Los Angeles 2028.
Aujourd’hui, l’ascension du teqball en fait un incontournable lors d’événements qui servent souvent de points de passage sur la route vers les Jeux Olympiques. Sa croissance, la plus rapide au monde, se poursuit à un rythme effréné.
Car en dehors des Jeux Olympiques, il existe de nombreuses autres compétitions multisports prestigieuses et moins connues.
Toutes les manifestations veulent du teqball
Au cours des dernières années, la FITEQ a commencé à tisser des liens avec les différentes instances organisatrices de ces compétitions multisports. Le teqball a déjà figuré en tant que sport de démonstration lors des tout premiers Jeux africains de plage (photo) et plus récemment, lors de la première édition des Jeux panaméricains juniors à Cali, en Colombie.
L’année dernière, le sport a été inscrit au programme sportif officiel des Jeux européens de 2023 organisés par les Comités Olympiques Européens (COE).
La discipline sera également sport médaillé aux Jeux asiatiques de plage de 2023 et comme sport de démonstration aux Jeux asiatiques d’arts martiaux et en salle de 2023. Récemment, la FITEQ a révélé que le teqball serait sport de démonstration aux Jeux méditerranéens de 2022 à Oran, en Algérie, fin juin – début juillet.
Les fondateurs de la discipline Gabor Borsanyi, un ancien joueur professionnel et Viktor Huszar, un ingénieur en informatique en sont eux-mêmes bouleversés : « pour nous, c’est tellement irréel . Nous ne comprenons pas que les plus grandes superstars du monde jouent au teqball. Quand nous nous promenons sur les plages de Los Angeles ou Israël, ou n’importe où et que nous voyons des gens pratiquer une activité que nous avions créé pour nous-mêmes, dans le jardin ».