Le nom de cette substance dopante assimilée aux stéroïdes apparaît à la fin des années 1990 lorsque des stars de l’athlétisme comme Dieter Baumann ou Lindford Christie (photo) ou du football comme Edgar Davids sont contrôlées positivement. Il est établi que ces sportifs se sont procurés des compléments alimentaires sur Internet et que l’étiquette ne mentionne pas la nandrolone et la testostérone qui sont intégrées aux dits compléments alimentaires.

Ce vice de forme permet aux athlètes de clamer leur bonne foi et refuse la sanction qui leur est imposée. Ils finiront pas obtenir gain de cause.

À la vérité, 15% seulement des compléments alimentaires sont concernés par ce manque d’information. Depuis, des scientifiques ont établi un test fiable qui permet de faire la différence entre la nandrolone produite par le corps et celle injectée par voie musculaire.