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YANG Yang (A) (1976) Chine / Patinage Short track 🟡2 ⚪️2 🟠1

Avec une kyrielle de 28 titres mondiaux on peut considérer que Yang Yang (A) est assurément la figure forte du patinage de vitesse sur piste courte au tournant des années 1990 et des années 2000.

 

Sa défaite lors du 1500 m des Jeux de Salt Lake City 2002 contrarie profondément la jeune patineuse chinoise qui rêvait de devenir la première chinoise championne olympique aux Jeux d’hiver. La déception sera de courte durée, trois jours plus tard elle s’impose dans le 500 m et rentre dans l’histoire.

 

Elle se remettra totalement de son premier échec en s’imposant à nouveau sur 1000 m et en remportant encore une autre médaille d’argent.

Ce jour-là, à la troisième place figure une autre chinoise du nom de… Yang Yang (S).

En compétition interne avec… Yang Yang (S)

Les deux patineuses n’ont aucun lien de parenté – elles utilisent leurs initiales pour se différencier. Reste que Yang Yang (A) aurait pu devenir championne olympique dès les Jeux de Lillehammer 1994. Elle termine sur la même ligne que celle qui sera déclarée vainqueur, la Coréenne Chun Lee-Kyung, mais elle est déclassée pour l’avoir gêné dans un virage.

 

Après une médaille d’argent par équipe à Nagano 1998, Yang finira sa carrière aux Jeux de Turin 2006 avec une médaille de bronze au 1000 m qui manquait à son palmarès.

 

Après avoir été membre du Comité international Olympique (CIO), elle est vice-présidente de l’Agence Mondiale Antidopage (AMA).

En 2013, Yang a cofondé un centre de patinage à Shanghai afin de promouvoir les sports de glace en Chine.

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