L’Agence considère que des améliorations sont nécessaires, notamment en ce qui concerne la prévisibilité et l’étendue des tests. Avant les Jeux de Tokyo en 2021, près de 15% des athlètes n’avaient pas été testés. Selon les experts, les tests sont particulièrement utiles pendant cette période.

 

Parmi les 14 sports à haut risque classés par l’ITA, la natation est le moins bon élève. Près de 20% des participants n’ont pas été testés au cours des 6 mois précédant les JO de Paris. Toutefois, tous les médaillés ont au moins été testés une fois. Au total, 31 896 tests ont été effectués sur 10 720 athlètes. Jusqu’à présent, 5 cas de dopage ont été recensés lors de ces derniers Jeux. Tous les échantillons ont été congelés en vue d’analyses ultérieures. Les échantillons peuvent être conservés et réexaminés pendant 10 ans à la lumière des progrès scientifiques.