Les émotions de la Cérémonie d’ouverture

La cérémonie d'ouverture est terminée, mais les lanternes ne sont pas éteintes, les Jeux olympiques viennent de commencer.   Malgré la

La cérémonie d’ouverture est terminée, mais les lanternes ne sont pas éteintes, les Jeux olympiques viennent de commencer.

 

Malgré la pluie qui n’était pas tombée sur la capitale depuis plusieurs jours, l’événement restera dans les mémoires et encore plus dans la tête de ceux qui l’ont vécu dans leur chair : les 6800 des 10 500 athlètes présents aux Jeux et plus sûrement encore dans l’esprit du pianiste classique français Alexandre Kantorow qui a joué, stoïque sous une pluie battante. Chapeau l’artiste!

 

Une autre peur causée par la pluie, car la cérémonie d’ouverture est également un événement cathodique vu par des milliards d’individus, les gouttes qui tombent sur les objectifs des caméras de télévision. Elles ne gâcheront pas le spectacle.

La pluie implacable ne parviendra pas à noyer les acclamations des 320 000 personnes présentes dans les gradins.

 

Le long de la Seine, Paris est devenu un énorme auditorium en plein air, surveillé par 45 000 policiers, 10 000 soldats et 20 000 agents de sécurité privés pour prévenir tout incident.
Compte tenu de son cadre ouvert et vulnérable, la cérémonie s’est finalement déroulée presque sans accroc.

Des émotions et quelques couacs

De nombreuses célébrités nous ont époustouflées comme Lady Gaga dans son hommage à Zizi Jeanmaire ou Céline Dion du premier étage de la Tour Eiffel interprétant un très émouvant « Hymne à l’Amour d’Edith Piaf ».

 

Ces moments-là ont largement fait oublier des tableaux trop longs, trop parisiens, trop tendance.

 

On préférera retenir cette Tour Eiffel comme on ne l’a jamais vu, magnifique d’effets spéciaux, de lasers en tout genre.

 

Et puis l’arrivée toute simple de Zinédine Zidane transmettant le flambeau au « petit prince de Roland Garros », Rafael Nadal... avant sa traversée de la Seine où il est accompagné par les stars du sport olympique que sont Carl Lewis, Nadia Comaneci ou Serena Williams.

 

Enfin que dire du final, tous ces champions olympiques français qui traversent les Tuileries et qui offrent à deux champions emblématiques : Marie José Pérec et Teddy Riner le privilège d’allumer la vasque olympique, un ballon dirigeable qui s’embrase et stationne quelques dizaines de mètres plus hauts, illuminant presque tout Paris.

 

Sûrs, les Jeux de Paris ont bien commencé.

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