Après une figuration aux Jeux de Séoul 1988, c’est dans la catégorie des 71 kg que Koga s’impose aux Jeux de Barcelone 1992. Après un repos sabbatique, il refait surface dans la perspective de disputer les Jeux d’Atlanta. Cette fois, il va combattre dans la catégorie des 78 kg.

Battu lors des sélections japonaises, il est néanmoins choisi comme représentant en raison de son expérience passée aux Jeux olympiques. Il ne parvient pas à s’imposer et doit se contenter de la médaille d’argent. Il est battu en finale par le Français Djamel Bouras (photo).

C’est à cette époque qu’il met un terme à la compétition pour devenir entraîneur de l’équipe féminine. Il entraine ensuite celle de l’Université internationale du Pacifique d’Okayama.

Koga était considéré comme le judoka capable de réaliser les meilleurs ippons de sa discipline.

Koga devait participer au relais de la flamme olympique de Tokyo 2020 en mai dans sa préfecture natale de Saga, dans le sud-ouest du Japon. Souffrant d’un cancer, depuis plusieurs mois, il s’est éteint à 53 ans quelques semaines auparavant.